Rendre à César


 

« Je ne suis pas l’enfant naturel de temps calmes de la vie politique, je suis le fruit d’une forme de brutalité de l’Histoire, d’une effraction, parce que la France était malheureuse et inquiète. »

Étonnamment c’est sur la forme que la presse unanime a commenté cette magnifique synthèse littéraire de notre président de la république. Curieusement, personne n’en a osé l’exégèse alors même qu’« en même temps«  pour reprendre la rhétorique de notre cher président E. MACRON tombait une pluie de bonnes nouvelles économiques.

 Il ne faut pas être un grand politologue pour comprendre à quoi E. MACRON faisait allusions évoquant la brutalité de l’histoire

La courbe du chômage c’est bel et bien inversée et c’est bien grâce aux choix économiques du président HOLLANDE et à la confiance qu’il avait placé en E. MACRON   que l’on doit ce renversement de tendance, aucun membre du PS hormis les AYRAULT, CASENEUVE, FABIUS, KANNER, LE FOLL,  LE DRIAN, LE BRANCHU, ROYAL,  TOURAINE, PINEL, PELLERIN LANGEVIN VALLS ne peuvent prétendre le contraire sauf bien sûr la brutale fronde qui mis à bas l’édifice pour des motifs si abscons qu’il ne m‘en revient aucun en mémoire.

Le silence éloquent des socialistes sur cette envolée lyrique de celui qu’ils refuseront toujours de considérer comme un des leurs est un mauvais présage pour l’avenir du PS incapable de la moindre autocritique car les mêmes causes produisant les même effets…

Personnellement je le regrette car ce n’est pas simplement une erreur mais une faute devant l’histoire.


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